Le conseil municipal réunie le 16 mai 1886 pour le projet d’école estimé à 15000 francs (devis 13996,50 francs), plus un emplacement de 1000 francs, subventionné à 80%. L'annuité de la commune s’élève à 185,36 francs et celle de l’état à 741,468 francs sur 30 ans.

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     16 juin 1889, le décompte définitif de la construction de l’école dressé par l’architecte et accepté par l’entrepreneur, il s’élève 12545,17 francs plus 1099, 65 francs pour frais d’emplacement et de purge d’hypothèque légale, soit un total de 13644,82 francs.

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      Même séance, demande à monsieur le préfet l’autorisation d’employer la somme de 1355, 18 francs, à savoir:  455 francs pour le mobilier scolaire et la pose d’une horloge au bâtiment communal de 900,18 francs (devis estimé à 1600 francs), il manquait donc 700 francs.

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      La  pose de l’horloge a eu lieu le 26 octobre 1891. Le transfert de l’école et de la mairie se feront le 6 août 1891 et la mise en vente de l’ancienne mairie  le 7 août 1893 avec la démolition d’une partie de l’ancienne "école-mairie" pour élargir la rue des escaliers et la rue de la boulangerie.

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Ensuite transfert des piliers et de la porte d’entrée de l’ancienne école pour fermer la terrasse restante (maison de Diégo et Péguy SANCHEZ).

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      Cette opération a été menée à bien car cela arrangé le maire, avec l’élargissement de la rue qui lui permettait d’avoir un meilleur accès à sa cave (maison de Diégo et Péguy) source Marthe Boissier épouse Vianes.

Par contre il a refusé une demande de la poste, de fournir un terrain pour construire une poste centrale qui aurait desservis les communes de Sardan, Gailhan, Saint Clément, Aspéres,  Salinelles Fontanes et Lecques. Le motif  était qu’il aurait fallu sacrifier une parcelle agricole, peut être avait-il des vue sur cette parcelle en question (source Louis Jeanjean).